Recent Posts

Presse

By far the best singing of the evening was Claire Debono’s sensitive, colorful and gracefully embellished account of Ilia’s music.

Allan Kozzin – The New York Times – 25/09/06
Idomeneo-Lincoln Centre

The finest voice of the evening belonged to Claire DeBono as Ilia. Hers is a burnished instrument, secure in upper and lower registers and extremely well–managed in little details like individual note dynamics and elongated lyrical line.

The New York Sun – Idomeneo at the Lincoln Centre – 25/09/06

Avec le Siegfried du Philharmonique de Berlin et la Passion de Dusapin, cette Infedeltà jubilatoire, marquée par la performance vocale et dramatique de la déjà confirmée Claire Debono, fait donc partie des trois réussites de cette édition

Eric Dahan – Libération – 11/07/08
L’Infedelta` Delusa – Festival d’Aix-en-Provence

The second half brings the duets – including one of proto-Straussian dimensions for two sopranos, which Lucy Crowe and Claire Debono rendered both sensual and divine.

Financial Times – 18/09/08
Israel in Egypt – Edinburgh Festival

[…] Claire Debono (La Gloire/Phénice/Lucinde) et Isabelle Druet (La Sagesse/Sidonie/Mélisse) font assaut d’é́légance primesautière […]

Les échos – Michel Parouty – 16/10/2008

[…] Pas plus qu’un diaporama un peu miteux à la gloire de Louis XIV, agrémenté des louanges de leurs guides en tailleur et talons aiguilles, j’ai nommé la Gloire et la Sagesse – Claire Debono et Isabelle Druet, pimpantes.[…]                                            

Altamusica.com – 8/10/2008 – Mehdi Mahdavi                                                                                                                                                                                             …la souplesse fruitée de Claire Debono

Claire Debono demeure la révélation de la soirée… exulte, éblouit par un jeu tout en finesse, par un tempérament facétieux qui se glisse dans chaque rôle travesti avec délices, mêlant tendresse et espièglerie voire âpreté bouffone.

Classiquenews.com – L’INFEDELTA’ DELUSA

… perchée sur son tabouret, plus Piaf que diva avec sa petite robe noire et son cardigan perle, brûlant les planches quoi qu’elle fasse, et animant chaque mélodie de sa voix droite, pure, parfois délicieusement cassée… Et lorsque Claire Debono aura chanté le dernier vers, si tendre, si aérien, du poème d’Hugo, « Enfant, si j’étais roi », on sera là tout penaud et soudain orphelin.   

Bruxelles – Palais des Beaux-Arts – 3/04/11
Recital-Liszt
Martine Mergeay – La Libre Belgique

… trois Dames de première force (Claire Debono, Juliette Mars, Elodie Méchain)

Diapason
La Flûte enchantée de Mozart. Paris, Théâtre des Champs-Élysées, le 18/12/11

Et puis deux perles tout de même… La Première Dame de Claire Debono, du galbe et du tranchant dans le timbre, et du tempérament à revendre…

altamusica. com
Première au Théâtre des Champs-Élysées de la Flûte enchantée de Mozart mise en scène par William Kentridge, sous la direction de Jean-Christophe Spinosi

Claire Debono (Venere) séduit également

Anaclase Cavalli – La Didone 2011

Tout commence avec la magnifique Iris / Vénus de Claire Debono, qui se drape d’emblée dans un manteau de tragédienne, avec une vraie gourmandise des mots.

forumopera.com – La Didone 20/10/12

Maltese soprano Debono, dressed in a red richly-designed robe combining Indian and Egyptian motifs, is as gorgeous to watch as she is to listen to with her most tender soprano sound.

D.C THEATRE SCENE – Susan Galbraith – Oct 8th 2014
Les Fêtes d’hymen et de l’Amour

Of particular note for vocal beauty was Claire Debono, who played several roles, including Delphine and Madame Riss (the wife of the painter). Her lovely soprano voice had a healthy and tight vibrato that was simply gorgeous.

Metropolitan Arts Reviews
Cosi fan Tutte et Les Femmes Vengées Jan 2014

The goddesses were much better than their gods, particularly Claire Debono as Minerva and Love.

SEEN AND HEARD INTERNATIONAL
Il Ritorno di Ulisse in Patria Real de Madrid. 21. 4.2009

On ne peut passer sous silence quatre belles voix féminines d’une grande capacité histrionique : Hanna Bayodi-Hirt (Melante et la fortune, Claire Debono (la double divinité), Sonya Yontcheva (Junon) et Marina Rodríguez-Cusi (Euryclée).

ConcertoNet.com
Il Ritorno di Ulisse in Patria Real de Madrid. 21. 4.2009

Claire Debono… made a sparkling impression in Cupid’s two arias

Erika Jeal – The Guardian
Semele Barbican 11/07/10

Claire Debono innove en incarnant Cupidon, rôle qui fut supprimé par Haendel peu avant la première, rétabli par Christophe Rousset. Tantôt eros, tantôt filia, tantôt agape, la voix de la soprano incarne tour à tour, les différents états de l’amour, fil conducteur de cette tragi-comédie grecque.     

forumopera.com – 30/06/10
Semele Théâtre des Champs Élysées

It was twiddle-your-thumbs time until the entry of Claire Debono’s blind Cupid, I’m afraid. With the emergence of this snaky, sexy, sequenced, Enlightenment glam rocker (pure Peter Greenaway) – whose glistening red tails and bizarre cavorting (not quite hash-induced, not quite cocaine-induced, not quite lost, just weird) mirrored perfectly the slinky bejewelled duplets on oboe and strings that Rousset was conjuring up – and her knowingly stagy, androgynous cabaret performance in dark glasses, the whole production took off whenever she returned, even when she wasn’t singing… Debono delivered the finest couple of stand-alone arias of the night in her two gem-like exhortations.

Theartsdesk.com – SEMELE-Theatre des ChampsElyseesThursday – 01 July 2010

Other singers handle multiple roles with verve and style, particularly Katherine Watson as an affecting Cassandra, Mariana Rewerski as a fresh-voiced Anna, Tehila Nini Goldstein as Creusa and Juno, and Claire Debono as a fun-loving Venus

Opera News – La Didone 2011

Les Trois Dames… forment plus un seul être à trois têtes que trois personnages agissant de concert, sont excellentes, incarnant avec beaucoup de justesse les conséquences auxquelles peut conduire une jalousie idiote.

ConcertoNet.com – Dec 2011
La Flûte Enchantée – Théâtre de Champs Élysées

In Act I Jeffrey Thompson was a splendid Osiris, his potent tenor turning soft and seductive to appeal to the Amazon queen Orthésie, sung by soprano Claire Debono, whose fierceness took strength from her ringing top register. The two singers were felicitously paired again in Act III, as Aruéris, God of the Arts, and his lover Orie…

The Wall Street Journal – Oct. 13, 2014
Les Fetes d’Hymen et de l’Amour – Lincoln Centre

Claire Debono deserves special mention as Minerva ; she can act not only with her body but with her voice and her eyes, and makes Monteverdi’s music for this character thrilling.

BBC Music Magazine – Il Ritorno di Ulisse in Patria-Teatro Real, Madrid – Jan 2012

L’Isabelle de Claire Debono est en revanche parfaite. Elle s’accomode fort bien de l’accoustique et son air du dernier acte est l’un des plus beaux moments

Le Figaro – L’Amant Jaloux 21/11/2009

Claire Debono, jolie voix, joli style, est une Isabelle prompte et vive…

10/11/2009 L’amant Jaloux Opéra Royale de Versailles
Diapason

Claire Debono, especially adept at 18th-century gesture, shapes Isabelle’s lyrical music gracefully.

Gramophone Magazine – L’amant Jaloux – Opéra Royale de Versailles

The soprano Claire Debono makes Spring a warmly sensuous affair.

New Statesman – 30/07/09
The Fairy Queen – Glyndebourne Festival

La troupe est trop nombreuse pour les citer tous. Mentionnons les sopranos Lucy Growe, Claire Debono et toutes les fées. Elles ont cette technique anglaise souple et sûre, ancrée elle aussi dans une belle tradition.

forumopera.com – 16/01/10
The Fairy Queen – Opéra Comique

On avouera un faible pour… Claire Debono, Despina racée autant qu’aimable manipulatrice…

La Croix – 25/05/2012
Cosi fan Tutte – Théâtre des Champs Élysées

Au registre des satisfactions, la Despina de Claire Debono, amusante et espiègle à souhait.

Resmusica – 28/05/12
Cosi fan Tutte – Théâtre des Champs Élysées

Claire Debono, enfin, est une Despina rouée à souhait, non pas une intrigante mais plutôt une soubrette espiègle et délurée. Le timbre ne manque pas de séduction et on lui pardonnera un ou deux aigus attaqués en force en début de soirée tant sa prestation au second acte est accomplie, rehaussée par une caractérisation haute en couleur du notaire.

forumopera.com – 22/05/12
Cosi fan Tutte – Théâtre des Champs Élysées

… la soprano maltaise Claire Debono, hier jeune pousse du Jardin des Voix et Despina à Lyon, qui vous désarme en dix éclats de rire sans rien sacrifier de son exquise partition. Une merveille…

Diapason
L’infedelta delusa de Haydn. Académie européenne de musique, Aix-en-Provence, le 5 juillet, 2008

On avouera un faible pour les deux mezzo-sopranos, aux timbres capiteux mais frais, à l’incarnation dramatique irréprochable : Claire Debono, Despina racée autant qu’aimable manipulatrice, et Michèle Losier…

La Croix – 25/05/12
Cosi fan Tutte – Théâtre des Champs Élysées

Dominant l’ensemble, Claire Debono explose littéralement en Vespina, irrésistible d’abattage comique et stylistique, et dotée d’une voix idéalement timbrée sur toute l’étendue, à la couleur fruitée, intensément personnelle, et déjà immédiatement reconnaissable.

Altamusica – Mehdi Mahdavi – 15/07/2008
L’Infedelta` Delusa – Festival d’Aix-en-Provence

Cependant c’est la soprano Claire Debono qui a élevé l’opéra au rang de quasi-tragédie. D’abord touchante dans l’air dépouillé « Falsa immagine », elle est tout simplement bouleversante dans « Affanni del pensier ». Elle semble n’avoir aucune limite technique, aligne les vocalises avec aplomb et décoche les notes aiguës sans effort apparent dans « Benchè mi sia crudele ». Captivante, l’artiste ne laisse aucune place à l’ennui.

Ruggiero Meli – Resmusica
Ottone-Teater an der Wien 20/07/2010

(…) a lyrical round crystalline sound…                                                                  

Anne Midgette – 7/10/14 – The Washington Post
Les Fêtes d’Hymen et de l’Amour

Bellini’s charming cantilenas Vaga luna, che inargenti and Ma rendi pur contento, originally written for voice and piano, suited Debono’s warm and seductive tones, and her vocal agility was put to the test in Mauro Giuliani’s richly ornamented arrangement of the cavatina Di tanti palpiti from Rossini’s opera Tancredi.

The Scotsman – 23/02/2009
Recital at The Queen’s Hall-Edinburgh

Some vocal performances went well, notably, those of Jeffrey Thompson as Osiris and Aruéris, Ingrid Perruche as Mirrine and Memphis, Claire Debono as Orthésie and Orie, and Aaron Sheehan in various roles

The New York Times – 12/10/2014 – James Osterreich
Les Fêtes d’Hymen et de l’Amour

La souplesse fruitée de Claire Debono…

Diapason 02/2016
Monsieur de Pourceaugnac

Vocalement, nous retiendrons notamment la prestation de la soprano Claire Debono dont le timbre clair et la voix puissante ont fait merveille dans les parties solo et ressortent joliment dans les ensembles.

Olyrix.com 09/01/16

Monsieur de Pourceaugnac

Claire Debono… was predictably world-class. Without amplification, her voice shattered across the orchestra like iced glass, she reached stratospheric heights with laser accuracy, her wracked body and wrenched hands dramatising the text with all the tragedy of a Greek heroine. Her final ‘Dios’ (“These would be the last words of God”) had to be seen and heard

Classicalsource.com-09/04/2106- Ates Orga

De Dioses y Perros (Karl Fiorini)

Claire Debono’s Susanna was superb, as the anxious maid so loving in an unforgettable Deh Vieni non tardar.

The Times of Malta 09/04/2017